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Si ma douche pouvait être en Wifi !
Depuis la rentrée scolaire, je suis entré dans une secte : celle de ceux qui organisent leur quotidien.
Cela m’a pris après quelques pérégrinations hasardeuses sur le Net, et notamment la lecture de ce billet « Comment s’organiser sans jamais ranger avec la méthode Glande Appliquée & Rangement Interdit » du gourou Ploum.
Oui, je le revendique, je crois en la possibilité de m’améliorer pour cesser de procrastiner et de rester immobile intellectuellement et culturellement.
Sérieusement, je vous conseille la lecture intégrale du long billet cité ci-dessus, c’est impressionnant.
Si je vous résume en quelques mots le Credo de ces techniques, inspirées du courant américain GTD (« Getting Things Done ») :
- Une action réalisable au moment où vous y pensez, et qui demande moins de 2 minutes, doit être faite instantanément, et jamais reportée.
- Le reste est géré par un système de boîtes. Il s’agit de mettre en place des « inbox » (boîtes de réception) réelles ou virtuelles, dans lesquelles vous jetez tout ce que vous avez à traiter ou à faire plus tard.
- Du courrier reçu ? Dans la boîte !
- Plus de mayonnaise dans le frigo ? Hop ! Dans la boîte (pas le pot vide forcément, mais un papier où vous griffonnez « mayo »).
- Un dossier urgent à compléter pour demain ? Hop ! Dans la boîte.
- Dès que vous avez du temps d’action, vous prenez d’abord votre (ou vos) boîte(s), et vous choisissez : direction poubelle si l’info ne sert plus ou peut être trouvée ailleurs, direction rangement ultra-simple si le document est à garder (j’ai fait 3 tiroirs : école, personnel, administratif).
- Lors du rangement, les projets actionnables sont listés et triés par priorité (tout de suite, après, un jour…), par lieu d’exécution (à l’école ? sur mon ordi ? en ville ?) ou par temps demandé (de 5 minutes à la journée). Pour faire ces listes, j’utilise le service en ligne Evernote que je retrouve sur n’importe quel ordinateur connecté, sur mon smartphone ou sur la tablette qui traîne sur mon canapé. Cependant, si vous n’êtes pas hyper-connecté comme moi, c’est faisable sur un simple carnet.
- Quand le rangement est effectué, si vous avez du temps d’action, il n’y a plus qu’à faire, et cela de façon super cool (si, si), en fonction de vos envies, des priorités établies, du lieu où vous vous trouvez et du temps disponible.
J’ai ajouté, pour m’y tenir, la technique de la tomate, « Pomodoro », méthode très bien expliquée par ici, découverte via l’un de mes collègue sur Twitter. En 2 mots, se bloquer 25 minutes d’action sans distraction possible. Du coup, je n’allume plus ma télé, je ne vais plus grignoter du chocolat ou regarder un bateau qui passe, mais j’avance !
Et vraiment, c’est génial. Il faut juste une petite discipline pour gérer tout ça, mais c’est très vite fait, et vous vous retrouvez vite à l’action. C’est magique, les tâches se réalisent, vous ne perdez pas de temps à ranger, et vous avez enfin tout le loisir de vous distraire selon vos envies !
Alors, pourquoi ce titre d’article, me direz-vous (rappel pour ceux qui ne suivent pas : « si ma douche pouvait être en Wifi ») ? Tout simplement parce que 30% de mes idées de la journée me viennent sous la douche. Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas. Rien de très stimulant dans ma salle de bain, juste du carrelage blanc, une ampoule un peu austère, une serviette qui sèche et une brosse à dents qui attend son tour… Peut-être est-ce la chaleur de l’eau sur mon crâne qui dilate mes synapses, qui excite mes neurones et qui produit de la substance réflexive ? Je ferai une étude là-dessus un jour.
Toujours est-il que je me trouve comme un sot, debout dans ma baignoire, nu comme un ver, mouillé comme un rescapé du Titanic à qui on interdirait de toucher à un clavier, et surtout plein d’idées jaillissantes que je ne peux techniquement pas noter dans mon « inbox » virtuelle !
J’ai tout essayé : me répéter mentalement les idées qui me viennent, créer une chanson avec les choses à faire (ça développe la créativité, paraît-il, de chanter sous la douche), compter sur les associations d’idées, mais rien ne fonctionne !
C’est sans appel : il me faut une douche en Wifi, avec reconnaissance vocale et compte Google ou Evernote intégré, pour pouvoir lui dicter mes idées. Il faudra juste, le jour où j’aurai inventé le concept, que je n’oublie pas d’éteindre l’eau avant de parler !
octobre 7, 2012 4 052 lectures 8 commentaires
Les gants en laine sur le radiateur
Vous n’êtes pas passé à côté si vous avez écouté les infos en France : aujourd’hui, il a neigé ! Eh oui.
Tout le monde en parle ; les automobilistes n’osent pas dépasser le 30 km/h sur ligne droite, les trottoirs ont l’air plus penchés que d’habitude pour les piétons, les bus ne passent pas pour ramasser les collégiens, c’est pratiquement l’apocalypse ! Pire, dirais-je, c’est l’hiver !
Faut avouer que ça fait plusieurs années que j’ai un peu du mal à expliquer à mes élèves les caractéristiques de cette saison : le froid, la neige, la glace, l’absence de verdure… Heureusement, et malgré ce que nous font croire les médias, le climat semble retrouver une activité normale, et il fait enfin un temps d’hiver en décembre !
Faut dire que j’adore ça. Oh, pas seulement la conduite sur la neige, les sourires lors des chutes de piétons, ou le fait qu’on n’aille pas au collège ce jour-là… Non, j’aime juste l’ambiance de la neige, qui m’apporte irrémédiablement des souvenirs et des images d’enfance : les pas craquants, la luge au milieu de la route, les igloos sur le bord du trottoir, les constructions très organisées de bonshommes de neige, et bien-sûr, les inévitables batailles de boules !
C’est quand même étrange, ce matin, en voyant les enfants arriver dans la cour blanche de l’école, j’avais l’impression d’être encore plus heureux qu’eux de voir cette neige… N’auraient-ils pas assez de souvenirs de ces bonnes parties glacées ? Ignoreraient-ils comment de la pluie tombée à zéro degré remplace à elle seule toutes les x-box, wii, cartes de catch et DS réunies ?!
Ce qui est sûr, c’est qu’après une récréation bataille de boules de neige de 30 minutes, ils ont testé les plaisirs de la neige, en y goûtant de près ! Et moi, j’ai perdu 30 ans d’un coup !
En juin prochain, il faudra que j’expérimente la bataille d’eau, mais pas certain que cette fois mes collègues m’y laissent jouer ! ^^
décembre 17, 2009 3 468 lectures 6 commentaires
Demain, je braque la caisse !
Depuis plusieurs semaines, dans ma grande surface préférée, a été mis en place un système de caisse rapide. Le principe est simple : à l’entrée du magasin, je m’identifie avec ma carte bancaire, j’obtiens un lecteur magnétique avec lequel je scanne chaque article, puis au passage en caisse, je n’ai plus besoin de vider le contenu de mon caddie ; il suffit de laisser mon appareil à la caissière, qui vérifie aléatoirement que je n’ai pas fraudé, et qui débite mon compte.
C’est super pratique, car au fur-et-à-mesure de mes achats, je vois à quel montant s’élève mes caprices… Sans compter qu’on peut ainsi vérifier le prix de n’importe quel article. Puis ne pas devoir vider son caddie, c’est un petit confort supplémentaire.
Mais bon, je n’écris pas ce billet pour faire de la pub d’un système moderne, mais juste pour raconter une anecdote qui m’a fait sourire.
Hier, en attendant que « ma » caissière valide mon caddie, un homme à l’air louche est arrivé, les bras remplis de quelques articles, et là, l’hôtesse lui dit :
« ah non, Monsieur, pour cette caisse, il faut avoir un pistolet » !
J’imaginais la scène : l’homme jetant ses articles, et dégainant une arme ! Et toutes les caissières criant dans tout le magasin…
Je n’ai rien osé dire à cette dame, mais si j’y pense la prochaine fois, je lui sortirai un pistolet à eau. ^^
D’ailleurs, si un jour vous faites vos courses à Auchan Dunkerque, j’espère bien qu’on se fera une petite bataille de pistolets à travers les rayons !
décembre 9, 2009 14 199 lectures 14 commentaires
Le caoutchouc des bottes sur mes pneus !
En rentrant chez moi en voiture, ce midi, j’ai songé à mon enfance.
A la sortie de l’autoroute, à la fin de la bretelle, il y a en effet une magnifique flaque sur le bas-côté, et je prends toujours un grand plaisir à rouler allégrement dedans, en provoquant une magnifique gerbe d’eau ! (oui, je sais, il en faut peu pour m’amuser…). Souvenez-vous, c’est un petit plaisir délicat qu’on éprouve quand on n’est pas encore trop vieux : mettre des bottes, et aller marcher, ou sauter, dans les flaques ! (les bottes étant, au moins chez mes élèves, un accessoire totalement superflu !).
En fait, en éclaboussant les coccinelles ce midi, je me suis dit qu’on ne changeait pas vraiment. Enfant, je prenais plaisir à aller patauger dans les flaques, ado je roulais à toute vitesse en vélo dans les rigoles, et adulte, je franchis les lignes blanches pour provoquer des jets d’artifice ! C’est grave docteur ?
Allez, réfléchissez bien, je suis certain que vous avez aussi votre petite bêtise enfantine reformatée à la sauce adulte !
Quelques pistes ? Ne marcher que sur les bandes blanches d’un passage protégé, démarrer au feu rouge avant la voiture d’en face, faire des courses de caddie dans l’allée centrale du supermarché, appuyer sur tous les boutons de l’ascenseur, faire des grimaces devant son appareil photo numérique, tenir un blog et écrire des p’tites choses ridicules… ^^
novembre 11, 2009 2 963 lectures 7 commentaires
Je suis une bête immonde
Suite à la remarque étonnante de l’un de mes contacts sur Twitter, j’ai fait une découverte assez surprenante hier soir, qui allie mathématiques et mysticisme.
Mais au préalable, laissez-moi vous rappeler les origines d’un nombre, le 666, appelé aussi « nombre de la bête » ou « nombre de l’Homme ». Il s’agit d’une référence biblique, qui désigne ce nombre comme celui qui marque la seconde bête de l’Apocalypse. Au chapitre 13, verset 18, vous trouverez :
Évidemment, ce verset a beaucoup fait parler, et un article de blog ne suffirait pas pour donner toutes les observations trouvées autour de ce fameux 666.
Ce qui me concerne est une conclusion purement mathématique, qui me lie directement à ce nombre.
Accrochez-vous !
Je prends la table de multiplication de 9, et j’y associe les lettres de l’alphabet :
- A = 9 (1×9)
- B = 18 (2×9)
- C = 27 (2×9)
- …
- jusque Z = 234 (26×9)
Très naturellement, j’additionne tous les nombres obtenus pour chaque lettre de mon prénom (JEAN-ROCH) :
- J > 10×9 = 90
- E > 5×9 = 45
- A > 1×9 = 9
- N > 14×9 = 126
- R > 18×9 = 162
- O > 15×9 = 135
- C > 3×9 = 27
- H > 8×9 = 72
Je vous le donne en mille. L’addition de ces nombres (90+45+9+126+162+135+27+72) donne pile 666 !
Bigre. Diantre. Me voilà donc lié inexorablement à ce nombre maudit. Avouez que la coïncidence est frappante, même si, comme me le faisait remarquer un ami, on pourrait trouver des coïncidences aussi remarquables avec n’importe quel nombre…
Ce qui me rassure (façon de parler) c’est que « Jean-Roch » n’est pas le seul prénom dont la somme des lettres donne 666. On compte parmi les autres remarquables LUCIFER (argh) ou encore JESUS, auxquels on peut ajouter quelques noms communs comme GUERRE, DESIRS ou ENVIES, et encore beaucoup d’autres expliquées ici.
Concernant mon prénom, il va quand même falloir que je demande des comptes à mes parents, pour m’avoir affublé de ce chiffre qui me promet certainement un destin hors du commun (sans compter que j’ai bientôt 33 ans, l’âge de Christ, dont la somme des chiffres donne 6… Brrrrrr).
Si vous voulez connaître également votre lien hypothétique avec le nombre 666, allez donc le calculer vous-même ici.
[voix démoniaque ON] J’ai testé avec le nom de mes proches, je semble être le seul marqué du nombre de la bête ! [/voix démoniaque OFF].
octobre 18, 2009 4 890 lectures 33 commentaires
Où suis-je ?
Non, je ne vais pas vous entraîner vers une réflexion philosophique sur ma place dans la vie, ou sur l’état de mes réflexions, mais simplement sur ma localisation géographique !
Google offre depuis plusieurs mois un service de localisation via votre téléphone portable. Et quand on le souhaite, on peut donner sa situation géographique. Inutile de dire que cela pose des questions sur le plan du respect de la vie privée, mais comme c’est l’utilisateur qui décide de partager ou non sa localisation, tout cela reste très acceptable.
Voici un aperçu de l’endroit où je me trouve actuellement. Ou du moins de celui que je veux bien vous montrer !
Impressionnant cette technique, non ?
août 30, 2009 3 105 lectures 7 commentaires
Discussion de rayon
Ce midi, je profitais du calme ambiant pour aller remplir mon frigo à la grande-surface du coin. Et puisque le temps des vacances est propice à ma créativité gastronomique, je décidais de prendre les ingrédients nécessaires pour me faire une tarte au thon (oui, je commence fort, je sais).
Pas de problème pour le choix du thon, c’est un ingrédient dont j’ai goûté plus d’une fois les bienfaits en randonnée. En outre, face au rayon des pâtes, me voilà bien coi. Après avoir étudié les différentes possibilités qui s’offraient à moi, et n’arrivant pas à affirmer à 100% que la pâte brisée était plus adaptée que la pâte feuilletée pour ma recette, je décidais d’interpeler une ménagère de moins de 50 ans pour lui demander son avis.
- Excusez-moi, pourriez-vous me dire quelle est la pâte idéale pour faire une tarte au thon ?
Voyez-vous, ces a priori ? Je pensais qu’en demandant à une femme, je mettais toutes les chances de mon côté pour me régaler le soir-même. Or, à peine ma question posée, je vois la jeune femme se tourner vers son mari, avec des yeux emplis d’incertitude, comme si je lui avais demandé en quelle année était né Michaël Jackson. Peu importe, me dis-je, le regard percutant de son homme, montrant déjà une réflexion intense et certainement une grande expérience en matière de type de pâte, me laissait présager un dénouement rapide. Peut-être était-il lui-même pâtissier, ou gérant du sablage des pâtes chez Herta ?
Eh bien non. Un peu comme lors d’un jeu télévisé, pour faire preuve de déduction, l’homme me sortit que la pâte sablée lui semblait plutôt adaptée aux tartes sucrées (tiens, je ne l’avais même pas remarquée, la sablée…), et que la brisée, ça lui disait vaguement quelque chose (certainement un souvenir d’enfance, mais je n’ai pas osé fouiller dans le passé d’un inconnu). Bref, après quelques secondes de tergiversations argumentées, nous optâmes, dans notre ignorance mutuelle, pour la pâte brisée, ayant éliminé la feuilletée qui risquait de faire beaucoup trop de miettes dans mon four.
Moi qui croyais être ridicule à poser la question… J’aurais dû faire un sondage parmi les autres clients présents dans le rayon !
Ridicule, par contre, je le fus de retour chez moi. J’ai bien acheté du thon et de la pâte, mais paraît-il qu’il fallait aussi des œufs et de la crème fraîche !
août 21, 2009 5 718 lectures 4 commentaires
Petites anecdotes de courses
Il y a un rayon, dans les grands magasins, que je fréquente toujours avec des yeux de débutants : celui des produits ménagers.
Déjà, faut que je trouve le bon. Dans mon hypermarché préféré, on trouve déjà 3 rayons pour femmes pour l’entretien de la maison : un rayon pour les mouchoirs et papiers hygiéniques, un autre pour les produits de nettoyage et les accessoires (éponges, balais, sacs poubelle), et enfin, un rayon pour la lessive (machine à laver la vaisselle, le linge, à la main, assouplissant, détachant…). Vous voyez, je m’y connais déjà bien, n’est-ce pas ?
Bon, là n’est pas le propos.
Je passe le coup bien connu du papier toilette. Est-ce son nom officiel ? J’ai regardé sur le paquet de 16 rouleaux acheté dernièrement, il n’y a pas de nom, ça s’appelle juste des « rouleaux ». Et comble de l’indignation, il n’y a aucune indication sur l’utilisation de ces rouleaux, si ça tombe y’a même des gens qui ne savent pas à quoi ça sert… Bigre. [Read more →]
novembre 9, 2008 5 611 lectures 14 commentaires
J’ai connu les premières DS !
J’ai souvent eu du respect pour mes « anciens » (parents, oncles, grands frères…) qui me racontaient qu’ils avaient connu les débuts de choses qui me semblaient avoir toujours existé : la télévision en couleurs, les premiers coups de téléphone, l’arrivée du micro-onde (ah, ça je m’en souviens presque…
Parfois je m’amuse à penser que dans quelques année, c’est moi qui pourrai me vanter :
- d’avoir appris à lire sur un des premiers ordinateurs, texte vert sur fond noir (TRS-80 de chez Tandy pour les connaisseurs) ;
- d’avoir vécu la naissance d’internet, à l’époque où personne ne savait ce que voulait dire we-we-we (WWW) ;
- d’avoir connu des MacDo où le « drive » n’existait pas ;
- d’avoir passé des coups de téléphone d’une cabine où il fallait mettre des pièces ;
- d’avoir écouté Chantal Goya grâce à un mange-disque orange (ça, vous pouvez le garder pour vous…).
Et j’en passe !
Si mon titre parle de la DS, c’est à cause d’un élève un jour qui m’a sorti qu’il avait chez lui une DS (ne vous l’ai-je pas déjà raconté ? Désolé si je radote).
J’étais assez étonné de savoir que ses parents possédaient cette Citroën utilisée par mes propres parents, avant même que j’existe ! Et quel ne fut pas mon étonnement lorsque la moitié de mes garçons enchaînèrent en disant : « ah oui, moi aussi j’ai une DS… », « moi, j’en ai 2″.
Là, je compris que j’avais déjà un train de retard, et que j’avais aussi connu les premières consoles de jeu !
Bon, ce qui me rassure, c’est que je n’ai pas connu les ouvreuses au cinéma.
Et vous, quel a été votre premier ou votre première le plus marquant ?
août 12, 2008 3 384 lectures 11 commentaires
Bonne nouvelle !
En image :
Avec au passage une erreur dans la syntaxe grammaticale de Facebook lorsqu’on lit de près…
Que voulez-vous, on s’amuse comme on peut quand il fait gris dehors
J’espère que chacun d’entre vous passe d’agréables vacances… Pour ma part, j’apprends doucement à réutiliser internet après un sevrage nécessaire !
août 7, 2008 2 742 lectures 2 commentaires